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Note d'intention du metteur en scène

 

 

La douleur, la souffrance, rendent solitaire.

 

Cette solitude nous amène à soliloquer d’abord, de l’âme à soi, puis à monologuer, discours de soi vers un autre hypothétique.

 

Pire enfermement, quand l’égo voudrait exulter et qu’il implose au cœur de l’âme même, trou noir de l’Être.

 

Déconnecté, le douloureux psalmodie sa complainte salvatrice et libératrice.

 

Sur scène, le personnage erre entre deux états et deux îlots scénographiques, dichotomie des univers et des ressentis.

 

Au jardin (secret) un lit à baldaquin rose de tulle et de soie, lieu exacerbant les souvenirs amoureux et les instants heureux, fantasmatiques et oniriques.

 

A la cour, un univers froid, du bleu diffus des écrans ordinateurs et appareils de haute technologie de communication moderne.

 

Ici, le personnage tente les réminiscences d’un temps peut-être inventé, souvenirs humiliants, accablants, souvenirs des joies et des douceurs de l’autre.

 

Là-bas, le personnage aspire à crever la bulle de son enfermement à l’aide des media actuels, volonté de se projeter vers un extérieur qui appelle à la vie, à l’envie (SMS, Messenger, téléphone, e-mail…)

 

Âme, conscience, désincarnation, le personnage accouche de son double éthéré (une seconde comédienne, nue, au corps peint) l’accompagne dans son désir de dire. Elles se portent vers l’inéluctable, s’offrent, dans un aveu bouleversant, le « coup de grâce ».

 

Le public doit, après empathie, observer, sans pouvoir agir, le déclin d’une femme affectée comme il subit une société décadente.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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